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La solitude après 50 ans : un vécu profond, souvent invisible

  • Photo du rédacteur: Alexandra Lange
    Alexandra Lange
  • 27 nov.
  • 2 min de lecture

La solitude qui apparaît autour de 50 ans n’a rien à voir avec celle de la jeunesse. Elle survient au croisement de nombreuses transitions :

  • séparation tardive,

  • enfants devenus adultes,

  • absence de compagnon,

  • éloignement familial,

  • déracinement,

  • perte de repères professionnels ou sociaux.


Pour beaucoup de femmes, cette solitude est un tournant, un moment où l’on se retrouve face à soi-même… parfois pour la première fois depuis longtemps.


La solitude après 50 ans : un vécu profond, souvent invisible
La solitude après 50 ans : un vécu profond, souvent invisible

Un vécu intérieur complexe et souvent invisible


Cette solitude n’est pas seulement une absence de lien.

Elle devient :

  • un vide difficile à remplir,

  • des week-ends interminables,

  • des soirées silencieuses,

  • une fatigue émotionnelle profonde,

  • un sentiment d’invisibilité sociale,

  • la nostalgie d’une vie imaginée mais non vécue.


Certaines femmes traversent aussi le deuil de l’enfant non eu, un tabou souvent passé sous silence, mais qui influence profondément la manière de vivre cette période.


Ce que la solitude dit de nos besoins


La solitude révèle souvent un besoin essentiel :

  • être vue,

  • être entendue,

  • être en lien,

  • être reconnue.


Pour beaucoup de femmes, ce besoin est resté longtemps enfoui, masqué par des années à s’occuper des autres, à porter des responsabilités, à tenir debout.


La psychothérapie : un espace où l’on peut enfin exister


À Paris 12 comme à Vincennes, je reçois de nombreuses femmes pour qui la séance est le seul moment de la semaine où :

  • elles peuvent parler librement,

  • elles peuvent déposer leur fatigue,

  • elles peuvent pleurer,

  • elles peuvent sentir une présence à leurs côtés.


La Gestalt-thérapie place le lien au centre :le lien au thérapeute, au corps, aux émotions. Elle permet d’expérimenter une relation vivante, stable et chaleureuse, là où le quotidien peut être marqué par l’isolement.


L’approche jungienne donne du sens à ce passage. Elle aide à comprendre la solitude non pas comme un échec, mais comme un moment initiatique, une étape intérieure où quelque chose peut se réinventer.


Un premier pas vers une transformation possible


Comprendre la solitude, c’est commencer à la transformer. Loin d’être une fatalité, elle peut devenir :

  • un espace de reconstruction,

  • un terrain pour se redécouvrir,

  • une occasion de renouer avec ses besoins,

  • un moment pour retrouver une présence à soi.


En permettant à la parole de circuler, la psychothérapie ouvre une brèche : celle d’un lien retrouvé — d’abord avec soi-même, puis avec le monde.




En visant à offrir un espace chaleureux et accueillant, le cabinet de psychothérapie d'Alexandra Lange se positionne comme un allié précieux dans le cheminement vers une meilleure santé mentale. Que vous soyez aux prises avec des défis personnels, des troubles émotionnels ou simplement à la recherche d'un soutien professionnel, la psychothérapie peut fournir les outils et les ressources nécessaires pour vous accompagner sur le chemin du bien-être mental.


Alexandra LANGE, psychopraticienne à Paris 12ème, Bercy

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